• Qui est Mélanie Lemaire ?

    C'est en Mai 1988 que je vois le jour à Senlis, une très jolie ville au fort passé historique.

    Mon papa est alors technicien de maintenance dans une entreprise de plasturgie tout près de chez nous. Il travaille jours et nuits très dur pour nous apporter tout ce dont nous avons besoin et s'assurer que nous ne manquons de rien, ma mère et moi. Ma maman a décidé de rester à la maison pour m'élever. Elle entreprend là le plus dur métier du monde : celui de Mère au Foyer. A eux deux, ils m'apportent tout ce qu'une petite fille peut espérer : un exemple d'amour et de stabilité, mais aussi de responsabilité et de courage. Car la vie n'est pas toujours simple pour un jeune couple avec un bébé à la fin des années 1980...

    Mais peu importe, ils ne se découragent jamais et j'hérite de leur persévérance !

    Au cours des neuf années qui suivent, la famille s'agrandit et trois autres enfants arrivent... Trois garçons ! Le mode d'emploi pour les filles a visiblement été perdu en chemin... L'avantage ? J'ai ma propre chambre dans notre petit appartement ! 

    Avec mes frères, nous développons notre imagination grâce à la télévision, à la lecture, aux jeux vidéos et aux jeux que nous inventons : parties de poker-famille pendant lesquelles nous parions nos figurines Kinder gagnées par le premier qui rassemble une famille au jeux des 7 familles, lancé de Kenex d'une chambre à l'autre, course de voiture Mécano dans le couloir, sauvetage de Barbie par Action Man et Max Steel... Nous ne manquons pas d'idées pour faire les quatre cents coups, toute l'année, à la maison ou au dehors !

    Qui est Mélanie Lemaire ?

    Au fil des années qui passent, nous prenons chacun notre chemin en fonction de nos goûts et de nos personnalités. Bien que passionnée de lecture et d'écriture, je choisis après mon Bac Economique et Social de me tourner vers les études de commerce. BTS Commerce International, Licence d'achats en alternance, Master responsable commercial puis spécialisation Marketing... Je fais ce choix à la fois pour que la lecture reste pour moi une passion, mais également pour m'assurer un métier qui me permettra de manger. Le dernier point important dans ce choix d'études, c'est qu'elles vont me permettre de voyager, ce dont je rêve depuis toute petite. Et je réalise ce rêve dès la première année de BTS. Londres, Hastings, Athènes en BTS, puis Dublin et Galway en Master.

    Qui est Mélanie Lemaire ?

    Je termine mes études en 2013 et suis embauchée en CDI par l'entreprise qui m'a accueilli pour ma dernière année d'alternance. Aujourd'hui, je suis Gestionnaire des Ventes et Logistique dans cette PME. Un travail avec ce qu'il faut de responsabilité sans que cela soit trop stressant, un environnement calme et des supérieurs compréhensifs, humains... Bien sûr, il y a des jours plus stressants, mais dans quel travail n'y a-t-il jamais de stress ?  

    Au milieu de tout cela, je n'oublie pas ce que je veux faire de ma vie : Ecrire ! Grande amoureuse de la lecture depuis toute petite, je me suis découvert une passion pour l’écriture alors que j’étais au collège. Encouragée par mes parents et mes amis, je me suis donc plongée dans l’écriture de mes premières histoires.

    Et aujourd’hui, je me rapproche petit à petit de ce que je veux devenir…


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  • Les meilleurs et les pires souvenirs d’une vie sont sources d’inspiration et peuvent devenir les meilleures histoires. Ces souvenirs sont liés à différentes choses, personnes et lieux plus ou moins proches de moi.

     

    Ma famille et mes amis

     

    Présents dans les moments de bonheur comme dans la tristesse, les membres de ma famille et mes amis sont une force et une véritable source d’inspiration. Paroles, faits, pensées, moments vécus... Ces instants transparaissent dans mes écrits et peuvent devenir des scènes à part entières de mes histoires.

     

    Mes parents sont une source d’inspiration très importante. Modèles de fidélité et d’amour, travailleurs courageux, ils ont toujours tout fait pour que mes frères et moi ne manquions de rien. Sans leurs conseils et leur éducation, je ne serais pas arrivée là où j’en suis aujourd’hui.

     

    Les animaux qui ont partagé ma vie m’apportent une autre source d’inspiration dans l’apaisement. Lorsque j’étais enfant, nous avions une chienne, un Berger Allemand du nom de Innie. Elle était d’une douceur inimaginable, presque une seconde mère. Protectrice et éducatrice en même temps.

    Nous avons dû la donner lorsque j’avais douze ans car elle ne supportait plus de vivre en appartement. Cela a été un déchirement pour moi car elle a vécu pendant plus de huit ans avec nous.

    Ce qui fait les grands souvenirs?

    Et, puis, il y a quelques années, après que l’un de mes frères ait fortement insisté et alors que mes parents ne voulaient plus prendre d’animal, ils ont finalement accepté d’accueillir une petite chatte noire. Elle s’appelle Cléa et c’est une véritable fripouille qui sait se faire comprendre.

    Ce qui fait les grands souvenirs?

    Mes passions

     

    Ma passion pour la lecture et l’écriture m’ont amenées à vouloir en découvrir toujours plus. Pour combler mon insatiable curiosité, il m’a fallu trouver de nouvelles manières d’apprendre.

     

    La télévision, le cinéma et ces acteurs que j’aime, qui me font rêver.

     

    Les voyages que j’ai pu faire depuis mon enfance, principalement grâce à l’école et à mes études, mais aussi grâce à mes parents. Ces voyages se sont faits aussi bien en France qu'à l'étranger.

     

    Ce qui fait les grands souvenirs?

     

    Les jeux vidéo également car on peut apprendre des choses dans les jeux tout en se détendant. Oui, n’en déplaise à leurs détracteurs, les jeux vidéo ne sont pas que brutalité. On y retrouve les mêmes valeurs que dans les livres.

     

    La musique enfin fait voyager et me permet de me retrouver dans une bulle lorsque j’écris. Parfois, la musique semble se marier parfaitement avec ce que je suis en train d’écrire. C’est une expérience magnifique et enivrante.

     

     


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  • Comment en arrive-t-on à aimer la lecture ?

    Chaque personne est différente et commence à lire pour des raisons différentes.

    Pour ma part, j’ai commencé à aimer les livres très tôt dans mon enfance. Mes parents m’avaient acheté, avant même que je ne sache ce qu’était un livre, toute une série de livres racontant les histoires Disney.

     

    A l’âge de 4 ans, lorsque j’entrai à l’école maternelle, ma mère avait pourvu au début de mon éducation et j’étais déjà capable de reconnaître toutes les lettres de l’alphabet sous toutes leurs formes minuscules et majuscules. Je savais également reconnaître tous les chiffres et compter jusqu’à 100. A la maison, je feuilletais les pages d’une magnifique encyclopédie illustrée par Disney et j’admirais avec envie les somptueuses couvertures reliées de cuir rouge et de dorures des livres de Jules Verne de mon père, attendant avec impatience de pouvoir les lire.

     

    De la lecture...

    Arrivée à l’école primaire, j’ai commencé à apprendre à lire et à écrire. J’apprenais avec d’autant plus de plaisir que l’héroïne du livre d’apprentissage de la lecture que nous avions avait le même prénom que moi et le même surnom que mes parents et mes grands-parents me donnaient (et me donnent encore aujourd’hui) : Mélanie la Chipie ! Comment ne pas prendre de plaisir à l’apprentissage quand en plus, votre professeur est une femme d’une douceur incroyable ?

    Au fil des années, j’ai commencé à lire tout ce qui me passait sous la main et était à ma portée. Nous avions une bibliothèque à l’école où les professeurs nous emmenaient emprunter des livres chaque semaine. En CE1 et CE2, notre professeur avait une méthode très agréable pour récompenser les élèves qui finissaient leurs exercices en classe. Il y avait, au fond de la salle, un coin de détente où nous pouvions aller lire en attendant que les autres élèves aient terminé. Je dévorais les J’aime lire !

    En CM2, notre professeur nous faisait chaque semaine des tests de lecture avec des fiches et des questionnaires. En quelques mois, j’atteignais la première le niveau de lecture le plus élevé. Nous étudiions également de nombreux romans de diverses manières : rédactions, dictées, dessins… C’est à ce moment que j’ai vraiment pris plaisir à lire. J’ai également découvert cette année-là la série de livres Chair de Poule dont j’ai aujourd’hui une belle collection.

     

    De la lecture...

    Puis, je suis arrivée au collège. Je continuais de lire, découvrant petit à petit d’autres types de romans comme La Petite Fadette de George Sand. Mais, c’est l’année 2002 qui a marqué un véritable tournant dans mon amour de la lecture. Cet été-là, je découvrais qu’un film qui m’avait énormément plu était tiré d’un roman. Mes grands-parents m’achetèrent le premier tome de ce roman pendant nos vacances du côté de Nevers. Je lus Harry Potter à l’école des sorciers de J.K. Rowling en une journée seulement. Et la semaine suivante, mes grands-parents m’achetaient le second tome.

     

    De la lecture...

    La lecture pour le plaisir et la passion commençaient réellement et elle a continué jusqu’à aujourd’hui, se développant pour tous les genres aussi bien en français qu'en anglais.

    De la lecture...


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  • Le samedi 29 avril 2017, j'ai découvert le Salon du Livre de Beauvais et une nouvelle organisation ! Le cadre est parfait : large extérieur sur une place Jeanne Hachette magnifique, près de la mairie, en plein cœur de la ville !

    29/04/2017 - Salon du Livre de Beauvais

    Cette fois encore, quelques personnes ont accordé sa chance à mon roman et je vous en remercie sincèrement ! Cela me fait plaisir de voir que Le Cœur de Pierre se fait sa place auprès de vous petit à petit !

    29/04/2017 - Salon du Livre de Beauvais

     


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  • Comme beaucoup de personnes, j’ai commencé à écrire dès l’école primaire. Mes différents instituteurs, puis les professeurs de français du collège nous donnaient régulièrement des thèmes de rédactions. Ces thèmes étaient soit liés aux livres que nous étions en train d’étudier, soit liés à des sujets d’actualité ou à ce qui nous entourait.

    J’ai commencé à prendre goût à l’écriture dès cet instant, donnant le meilleur de moi-même à chaque fois. Mais je ne pensais pas encore que cela deviendrait ma passion.

     

    Au collège, après une rédaction sur le thème des poèmes, j’ai commencé à en écrire quelques-uns pour moi-même. Ma meilleure amie de l’époque aimait lire autant que moi et elle avait déjà commencé à écrire lorsque nous étions en cinquième. J’adorais lire son histoire dans laquelle elle avait fait de nous les héroïnes d’un monde post-apocalyptique. J’ai voulu m’essayer à l’écriture également. Mais je n’avais pas de véritable idée pour écrire une histoire.

    Et puis, un soir, je regardais la série Sidney Fox l’aventurière. Dans cet épisode, l’ennemi de l’héroïne était joué par un acteur que j’adorais depuis toute petite et dont je ne connaissais pas le nom à l’époque : Simon MacCorkindale. Il incarnait le héros de Manimal, une courte série qui m’a fortement marqué. Cet épisode de Sidney Fox m’a électrisé.

    Je suis allée dans ma chambre, ai pris un cahier, un crayon et j’ai commencé à écrire.

    Le résultat ? Treize pages, un bon plagiat de ce que je venais de regarder à la télévision mais avec quand même des idées très personnelles, un nombre de fautes d’orthographe qui ferait pâlir n’importe quel professeur de français et des incohérences monstres dans l’histoire de base.

    Mais je ne m’étais jamais sentie aussi bien qu’en écrivant cette histoire. C’était comme si le crayon était la continuité de mon bras, de ma main et de mon esprit. Les mots se posaient d’eux-mêmes sur le papier, suivant le flot de mes idées. Même si ce que j’écrivais était en partie une copie, le reste des idées était bien de moi et les laisser se déverser ainsi me procurait un sentiment de liberté que je n’avais jamais connu.

     

    Au fil des mois, j’ai continué d’écrire cette première histoire, la développant, pages après pages, cahiers après cahiers. Puis, j’ai commencé à la taper à l’ordinateur. Je n’avais pas beaucoup d’expérience du traitement de texte, Microsoft Works à l’époque, ni du clavier. Aussi, je ne me servais que de mes index pour taper sur les touches du clavier. C’était un travail fastidieux. Mais, au fil des mois, je me suis habituée au clavier et j’ai commencé à réellement taper avec tous mes doigts. Mon histoire de treize pages est devenue un roman en trois parties.

    ... A l'écriture

    Je passais des heures devant l'ordinateur qui avait été installé dans ma chambre, à écrire et réécrire mon roman. Même pendant les vacances d'été, je préférais rester dans ma chambre à écrire que d'aller jouer dehors comme je le faisais pourtant les années précédentes. Cela rendait mes parents dubitatifs et même inquiets parfois...

    J’étais tellement confiante en moi à ce moment-là que j’ai envoyé une lettre à l’agent littéraire de… J.K. Rowling ! Oui, j’avais de grands rêves déjà à l’époque. Ils ont quand même pris le temps de me répondre, bien que cela ait été négatif.

    Ma passion était née. Mon rêve avait pris forme dans mon esprit : j’allais devenir romancière.

     

    J’ai continué de travailler ma première histoire, la faisant lire à mes parents, à mes grands-parents. Ma grand-mère paternelle a même trouvé le titre. Puis, j’ai commencé à écrire d’autres histoires que j’inventais. Je les ai gardées pour moi, les travaillant les unes après les autres, mais sans jamais aller vraiment très loin dans leur développement réel.

     

    Puis, j’ai découvert Internet à l’âge de 15 ans.

    Cela a été une toute nouvelle étape pour moi dans l’écriture. J’ai commencé à lire ce que d’autres écrivaient pour s’amuser : des fanfictions. Des histoires basées sur des univers littéraires déjà existants mais enrichis par des fans. J’ai commencé à écrire des fanfictions seule, mais également avec d’autres internautes sur différents thèmes liés à Harry Potter et aux mangas, mais aussi de la fantasy ou de la science-fiction.

    Et un jour, une amie internaute m’a envoyé un lien vers un concours de nouvelles organisé par sa région. Il fallait écrire une nouvelle pour enfant. Elle pensait que j’avais le talent et l’imagination nécessaires pour écrire ma propre histoire, une histoire qui parlerait aux gens et qui plairait.

     

    Je me suis alors lancée pleinement dans l’aventure !


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