• Lorsque j’ai participé au concours de nouvelles organisé par Carrefour, j’ai rencontré plusieurs autres aspirants écrivains. Comme moi, ils rêvaient de publier leurs ouvrages pour partager les histoires qu’ils ont en tête.

    Au cours de cette première édition, nous avons créé un petit groupe sur Facebook qui nous permettait de communiquer et d’échanger sur nos idées mais également sur les évènements de de nos vies d’écrivains. Depuis 2013, plusieurs d’entre eux ont pu réaliser ce grand rêve que nous partageons.

    Nous nous encourageons mutuellement et au fil des années, nous avons fait la connaissance de plusieurs autres aspirants auteurs qui nous ont rejoints.

    Maud de Kerlan (Le Coq) : Première gagnante du concours Nolim, elle a déjà sorti deux ouvrages.

    Les anciens JDE…

    Laurent Grima : Gagnant de la seconde édition du concours Nolim, il faisait partie des finalistes de la première saison et a pu publier son premier ouvrage.

    Les anciens JDE…

    Tiphaine Hadet : Grande gagnante de la troisième édition du concours Nolim, elle a publié trois ouvrages pour le moment.

    Les anciens JDE…

    Mélanie Baranger : Participante au concours Nolim, elle est devenue une romancière prolifique et a publié un grand nombre de romans que vous pouvez découvrir sur son site.

    Les anciens JDE…

    http://barangermelanie.blogspot.com/

    Et bien d’autres à venir !


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  • Contrairement à mes deux autres romans, j'ai décidé de publier le premier tome sur une plateforme d'écriture et de lecture gratuite.

    Pourquoi ? Pour trois raisons :

    Tout d'abord parce que j'étais frustrée. J'étais en train d'écrire Les Brumes du Destin, mais ce roman me trottait dans la tête depuis un moment et l'histoire était en train de devenir très claire dans mon esprit. Du coup, cela commençait même à me bloquer dans l'écriture de mon second roman. J'ai donc décidé de commencer l'écriture en parallèle.

    La seconde raison, c'est que je voulais essayer de retrouver le plaisir que j'avais en écrivant des fanfictions il y a quelques années. Celui de recevoir des avis au fil des chapitres, au fur et à mesure de l'écriture. 

    Et enfin, cela me permettait de tester mon histoire. Allait-elle plaire ? Mon intrigue allait-elle fonctionner ? Il n'y a rien de mieux que des "bêta-lecteurs" pour avoir des premiers avis et faire des corrections sur un roman.

    Si vous êtes curieux, vous pouvez donc découvrir mon roman à cette adresse :

    https://www.wattpad.com/624430903-l%27ombre-de-valachie-tome-1-le-secret-valaque

    Il s'agit de la première version. Bien que je me sois relue à plusieurs reprises avant la publication de chaque chapitre, j'aurai très certainement des modifications et ajouts à faire pour en faire un roman publiable. Sans compter que l'écriture des deux prochains tomes pourrait également influer sur ce que j'ai déjà publié.

     


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  • Actuellement, l'illustration de couverture est une image disponible sur le site de Wattpad.

    Si je l'ai choisie, c'est parce qu'elle rappelle la chapelle qui m'a en partie inspirée la manière dont les vampires ont été découvert. Cet endroit reste un lieu clé dans le roman et il a, à mes yeux du moins, toute sa place sur la couverture.

    Lorsque je travaillerai sur la couverture finale, je pense que la chapelle restera.

    L'illustration de couverture


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  • Parce que les lecteurs sont ceux qui parlent le mieux d'un livre, je vais vous mettre ici le premier commentaire global que j'ai eu sur mon roman. N'hésitez pas à me donner également votre avis en commentaire !

    Parce que c’est vous qui en parlez le mieux…


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  • Où est-ce que j’écris ?

    Lorsque j’écris, j’ai besoin d’être au calme. Jusqu’à il y a peu, c’était principalement dans ma chambre chez mes parents. Maintenant, c’est chez moi, soit dans mon salon, soit dans mon bureau-bibliothèque, entourée de tout ce qui m’inspire et me passionne : mes livres, mes DVD, les souvenirs de mes voyages. Mais il n’est également arrivé d’écrire chez une de mes tantes ou dans des cafés lorsque j’ai du temps de libre avant des visites ou d’autres projets de promenades.

    Quand est-ce que j’écris ?

    J’écris lorsque je suis sereine et que j’ai l’esprit libre. Lorsque je ne me sens pas bien ou que j’ai trop de choses en tête, je n’arrive pas à mettre sur le papier mes idées de roman et lorsque je m’y force, cela ne donne rien de bon.

    Pour ce qui est de l’heure à laquelle j’écris, c’est généralement le soir après le travail, le week-end ou pendant les vacances. Lorsque je ne travaille pas, je peux écrire toute la journée, jusque vers vingt-trois heures ou minuit… Jusqu’à ce que mes yeux commencent à se fermer. Mais je ne me réveille pas aux aurores, ni en pleine nuit pour écrire. J’ai besoin de ma nuit de sommeil.

    Comment est-ce que j’écris ?

    J’ai toujours un carnet sur moi au cas où, mais je ne l’utilise quasiment jamais pour écrire des idées de romans. J’ai une assez bonne mémoire pour mes écrits et j’ai tendance à garder mes idées en tête et à les laisser mûrir jusqu’à ce que je me sente prête à écrire.

    Généralement, j’écris la première version de mon roman sur un cahier. Ecrire au stylo me permet de poser plus facilement mes idées et d’avoir une plus grande proximité avec mes personnages et mon histoire. Les mots coulent plus facilement, comme si le stylo était une prolongation de mon esprit.

    J’ai fait une exception avec L’Ombre de Valachie que j’ai écrit directement sur ordinateur. Pour cette histoire, cela me semblait plus simple et surtout j’ai commencé à écrire sur ordinateur sans vraiment y réfléchir. Alors, j’ai continué et je vais faire la même chose pour les deux autres tomes.

    Ecrire en musique ?

    La musique m’aide à focaliser mon esprit, surtout s’il arrive que j’écrive dans un endroit où je peux être déconcentrée. Cela m’arrivait surtout lorsque je vivais chez mes parents. Soit j’écoute de la musique simple, sans parole, soit de la musique dans une langue étrangère (anglais, japonais…). Je parle couramment anglais, mais lorsque j’écris, cette langue me trouble moins que le français et j’ai moins tendance à chantonner au lieu d’écrire.

    Et surtout, j’ai pris encore plus de plaisir à écrire avec la musique lorsque j’ai eu un grand moment d’alliance avec elle. En écrivant Les Brumes du Destin, il y a un moment de la troisième partie qui a eu le même rythme d’action que la musique que j’étais en train de rédiger. D’abord calme, l’action est montée en force d’un seul coup alors que j’écrivais et la musique a fait la même chose au même moment.

    Depuis, je n’hésite plus à écouter de la musique lorsque j’écris.


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