• La soirée que j’attendais tant était enfin arrivée ! Hier soir 18 décembre, vers 17h30, une voiture nous attendait une de mes tantes et moi devant mon immeuble.

    Et après un peu plus d’une heure de route, nous voilà arrivées à la Gaïté Lyrique à Paris. Les portes n’étaient pas encore ouvertes et nous avons attendu quelques temps devant le théâtre. J’ai fait la connaissance d’une des participantes, Pauline, très sympathique, qui se reconnaîtra à la lecture de cet article.

     

    Enfin, les vigiles ont ouvert les portes et tous ceux qui attendaient sont entrés. Arrivées devant l’accueil, chaque finaliste a reçu un badge avec son nom et a été accueilli par les organisateurs. Puis, nous sommes montés dans les étages et avons été interviewé séparément pendant quelques minutes sur nos impressions et nos envies. 

     

    Puis je suis rentrée dans le grand bain ! J’ai pu discuter avec d’autres organisateurs, d’autres participants au concours et j’ai eu plaisir à discuter avec les autres finalistes. Puis, après quelques dégustations de délicieux petits fours et d’une flûte de Champagne, les discours ont commencé : un grand responsable de Carrefour qui a lancé le concours, puis Maxime Chattam, président du jury qui nous a parlé des raisons qui l’ont poussé à accepter d’être associé à ce concours, de son amour pour les mots.

     

     

    Il a également conseillé à tous ceux qui écrivent de ne jamais accepter d’être publié à compte d’auteur (c’est-à-dire de payer une partie ou tous les frais pour faire éditer son livre).

    Et enfin, dernier conseil : si l’on aime écrire et si l’on veut partager ce que l’on écrit, il ne faut jamais abandonner, même si on nous dit de ne pas écrire.

     

    Enfin, les finalistes ont été appelés à monter sur l’estrade pour recevoir leurs prix. Et la grande nouvelle gagnante a finalement été Speroïa de Maud Le Coq, une histoire futuriste qui donne une vision de l’avenir très intéressante et vraiment très bien écrite.

    Pour les autres, nous avons eu également nos lots de consolation : l’intégrale Autre-Monde de Maxime Chattam et une liseuse Nolim.

    Puis, nous avons pu discuter chacun un peu avec Maxime et il nous a donné son avis sur nos nouvelles en  nous expliquant les choses qui nous avaient permis de nous retrouver en finale, mais également celles qui ont fait que finalement, elles n’ont pas gagné. C’était un point de vue très intéressant et, même s’il insiste pour dire que c’est le sien, j’ai trouvé le point de vue de Maxime sur ma nouvelle très utile.

     

    J’ai également eu le droit à ma dédicace et à ma photo rituelle !

     

    Compte-rendu de la soirée Nolim 2013

     

    Et enfin, j’ai laissé ma place aux autres personnes pour aller discuter à nouveau avec mes camarades « écrivants » comme dit Maxime. Mais également pour profiter un peu plus des petits fours avec ma tante et mes camarades.

     

    Enfin, aux alentours de vingt-trois heures, nous avons repris une voiture pour rentrer.

     

    Cette soirée a été vraiment fantastique. Et même si je suis un peu déçue de ne pas avoir remporté ce concours, j’ai quand même gagné de superbes souvenirs, de très bons moments, des discussions très intéressantes avec des gens qui le sont tout autant, de nouvelles connaissances et j’ai pu rentrer chez moi des étoiles plein les yeux.

     

    Un grand merci donc à tous les organisateurs ainsi qu’à toute l’équipe de service hier soir, aussi bien les serveurs que les jeunes hôtesses des vestiaires.

    Merci à Maxime Chattam pour sa disponibilité et sa gentillesse pour cette nouvelle rencontre (la 10ème pour moi !).

     

    Et surtout, merci à tous ceux et celles qui m’ont soutenu tout au long de ce concours. Et ne vous inquiétez pas, ce n’est pas parce que je n’ai pas gagné que je vais abandonner l’écriture ! Au contraire, cela me donne encore plus envie d’écrire pour m’améliorer et donner envie à un éditeur de me publier.

    Surtout que j’ai plein d’idées en réserve pour mes futurs romans !

     

    Alors à très bientôt !


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  • Bonjour à toutes et à tous !

     

    L'année 2013 s'est achevée (dans la joie et la bonne humeur pour ma part) et c'est de la même manière que commence cette année 2014. Je vous souhaite à toutes et à tous les meilleures choses possibles : amour, amitié, santé, travail, études, argent et tout ce que vous pouvez vous-mêmes souhaiter avoir !

    Je vous souhaite de bonnes lecture et une imagination sans limite pour ceux qui écrivent !

    Pour ma part, pendant que je continue de chercher un éditeur pour mon premier roman, je commence à travailler sur mon premier projet d'écriture: un roman fantasy. Etant donné que je crée un nouveau monde, je commence à travailler sur toute la mise en place (mythologie, personnages, géographie...) afin de pouvoir construire une histoire complète.

    Je ne vous en dis pas plus pour le moment. Cela viendra en son temps.

     

    Passez une bonne journée en famille ou entre amis.

     

    Et...

    BONNE ANNEE 2014 !


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  • Plusieurs questions m’ont été posées et je me suis dit que cela valait la peine de les poser sur papier (ou écran) et d’y mettre les réponses sur mon blog. Après tout, si certaines personnes me les ont posées, c’est que d’autres peuvent avoir les mêmes interrogations.

    Alors, c’est parti !

    Et si vous avez d’autres questions, n’hésitez pas à les poser en commentaire à cet article, j’y répondrai en modifiant cette page.

     

    Comment m’est venue l’idée pour cette nouvelle ?

     

    A la base, je l’ai écrite pour un appel à textes sur le thème des légendes celtiques. J’essayais de trouver une idée originale et de créer une histoire sur ce thème. Et un soir, alors que j’étais allongée dans mon lit, j’ai entendu une musique de style irlandais à la télévision… L’idée m’est apparue d’un coup. Je me suis levée, j’ai allumé mon ordinateur et j’ai commencé à écrire l’histoire de Romaric.

    Par la suite, j’ai rajouté l’histoire du mouchoir pour coller aux conditions de participation du concours de nouvelles organisé par Carrefour. Là encore, lorsque j’ai su les conditions de participation, la manière d’introduire le mouchoir et ce qu’il devait devenir m’est venue immédiatement, sans réfléchir. Son rôle dans l’histoire m’a semblé tout naturel.

     

    Suis-je déjà allée dans le Connemara ?

     

    J’ai eu la chance de pouvoir y passer une journée entière pendant un voyage d’études en Irlande. J’ai pris le train un week-end et je me suis inscrite à une visite guidée du Connemara. C’était tout simplement magnifique et la vision de cette terre désolée m’a tout de suite pris au ventre… C’est difficile de mettre des mots sur ce que j’ai ressenti à ce moment-là. Il faudra que j’y retourne, c’est une évidence.

    Mais c’est aussi grâce à cette journée que j’ai pu écrire ma nouvelle. Sans cette vision que j’ai eue du Connemara, l’idée ne me serait certainement pas venue. Du moins, pas de la même manière.

     

    Les légendes dont je parle font-elles réellement partie du folklore irlandais ?

     

    Oui.

    Toutes les créatures dont j’ai parlé dans ma nouvelle font partie intégrante du folklore irlandais. Je les ai toutes découvertes différemment. Le Dulahan grâce à un manga, les Leprechauns et la Banshee dans différentes histoires, livres et films depuis quelques années et les Changeling en faisant une recherche Internet sur les légendes irlandaises.

     

    Est-ce que je compte développer ma nouvelle pour en faire un roman ?

     

    Oui ! 

    Je suis actuellement en train d'écrire un roman dont l'histoire sera basée sur cette nouvelle. Bien évidemment, il y aura quelques modifications car j'ai beaucoup d'idées pour développer cette histoire. J'espère que le roman vous plaira autant que la nouvelle. Je ne sais pas encore quand il sera publié car je n'en suis qu'au début de l'écriture et j'aurai encore des recherches à faire. Mais je vais tout faire pour que le roman soit au moins aussi passionnant à la lecture !

     

     

    PS : Si vous vous posez la question, ce dessin est bien de moi... 


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  • Auteur : Olivier Barde-Cabuçon

     

    L’histoire

     

    Pendant l’hiver 1759, peu avant Noël, le cadavre d’un moine est découvert dans les rues de Paris sous les feux d’artifices qui célèbrent la fin de l’année. Gorge tranchée, langue coupée… Comme deux autres corps trouvés chacun à une journée d’intervalle.

    Sartine confie cette nouvelle enquête au Commissaires aux morts étranges. Mais ce n’est pas là la seule affaire qui l’inquiète. Car, quelque part dans les plus sombres recoins de Paris, quelqu’un a décidé de ranimer la Fête des Fous, cette antique célébration interdite pendant laquelle tout l’ordre social est inversé.

    Il faut donc trouver ce meurtrier et empêcher cette fête qui risque de mettre à mal l’ordre si chère au lieutenant général de police qui craint les débordements qu’elle pourrait engendrer.

    Accompagné de son fidèle moine hérétique, le Chevalier de Volnay va donc tenter de résoudre ces deux mystères…

     

    Mon avis

     

    Dans cette troisième enquête du Commissaire aux morts étranges, Olivier Barde-Cabuçon nous plonge dans un Paris bouleversé par l’approche de la fête des fous et par des crimes sanglants… Encore une fois, l’auteur nous plonge avec brio dans ce Paris lointain et pourtant qui semble si proche de nous. Son écriture fluide et ses fines descriptions nous emmènent sur les traces de groupes religieux renaissants, des fêtards insoumis, mais sans oublier la misère qui persiste à cette époque.

    A nouveau, Volnay tente de résoudre ses enquêtes malgré les manigances et les cachoteries des grands de Paris, malgré la mauvaise humeur et l’inquiétude de Sartine, son supérieur, et malgré les mensonges et les allées et venues du mystérieux Chevalier d’Eon…

    Oliver Barde-Cabuçon manie ses personnages comme ses mots, pour nous amener petit à petit jusqu’au dénouement de cette enquête qui surprendra le lecteur.

    Redécouverte de notre histoire, action, émotions, suspens… Ce nouveau roman est un véritable de cocktail de plaisir, tout comme les deux premières enquêtes du Commissaire aux morts étranges.

    A lire sans modération !


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    Une fois le ticket bien rangé pour ne pas le perdre, j’ai fait un petit tour du salon histoire de repérer les stands où seraient les auteurs que je voulais voir et de faire un petit repérage de livres qui me taperaient dans l’œil…

    Et c’est aux alentours de 11h30 que je commence mon marathon dédicaces !

    Jean-Luc Bizien (France), auteur de L’Evangile des Ténèbres et La Frontière des Ténèbres en dédicaces pour son roman en deux volumes se déroulant dans le Japon féodal : Katana.

     

    Retour sur le SDL de Paris 2014

    Peter May (Royaume-Uni), auteur d’une série de romans policiers se déroulant en Chine, mais également d’une trilogie sur l’Ecosse et d’autres romans.

    Retour sur le SDL de Paris 2014

    Et un jeune auteur Français du nom de Mathieu Valentin qui vient de publier son premier roman : Le Quatrième Ordre – Rencontres.

    Et enfin, à 15h30, la dédicace de Kaori Yuki commençait… Je suis vite arrivée devant la mangaka (que nous ne pouvions malheureusement pas prendre en photo) mais qui a été très souriante. C’était un grand moment. Cela fait dix ans que je lis ses mangas et je n’avais jamais osé penser qu’elle viendrait un jour en France et que je pourrai la rencontrer. Ça a été une minute magique, même si c’était bien trop court. Mais j'ai eu ma dédicace sur un superbe support aux couleurs de son nouveau manga :

    En bref, ça a été une excellente journée !

    Merci à ces quatre auteurs pour leur gentillesse, et aux trois écrivains pour les quelques minutes de discussion très agréables que j’ai pu avoir avec eux sur leurs romans et leurs dédicaces qui immortalisent nos rencontres et rendent les livres que j'ai achetés encore plus particuliers.

    Chers amis qui venez de lire cet article, je m’attèle dès aujourd’hui à lire ces romans qui m’ont été dédicacés pour vous en donner mon avis dans de prochains articles !


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